Ecriture

(entrée du Dictionnaire encyclopédique d’histoire, le Mourre pour les férus [sens] de cette matière, l’ouvrage de référence)

Les origines de l’écriture pictographique [sens ?] se perdent dans la préhistoire [sens]. C’est à la fin du IVe millénaire [encadrement par quels nombres] que cette écriture [image(s)], ancêtre de toutes les autres, commença à se présenter en système [quelles en étaient initialement les limites évidentes ?]. Les plus anciens hiéroglyphes [étymologie de ce terme, cf. hiérophante, hiérarchie, hiératique, triglyphe dans les temples doriens [pays, image], glyptique] égyptiens sont ceux de la palette de Narmer [précisez – ad libitum + date approximative] ; de la même époque environ datent les premières tablettes d’argile mésopotamiennes, découvertes dans un temple d’Ourouk. [les questions ne seront dorénavant formulées explicitement… à vous de vous les poser. Qui plus est, vous pouvez améliorer la présentation du document par une découpe adéquate…]  L’hiéroglyphe égyptien et le cunéiforme commencèrent à évoluer par l’adjonction de signes phonétiques qui s’ajoutaient aux idéogrammes primitifs ; Vers le milieu du IIe millénaire apparut la décomposition en syllabes, qui annonça l’écriture alphabétique. L’alphabet phénicien, qui remonte au moins au XIIIe av. J.-C., eut une influence immense [que sont les Phéniciens ?] : adopté par les grecs, il donna, par métamorphoses successives, l’alphabet grec classique (ainsi la transcription écrite des épopées homériques par les Pisistrate), les alphabets latin (lui-même issu de l’étrusque, une lettre le prouve), copte, russe, etc.

L’apparition de l’écriture fut beaucoup plus tardive en Asie que dans le bassin de la Méditerranée. Les premières inscriptions chinoises, sur os et sur coquilles, ne sont pas antérieurs à la dynastie Chang (XVIe/XIe av. J.-C.). En inde, la littérature védique fut uniquement orale : il semble que le sanskrit ne commença à être écrit qu’entre le VIIIe et le Ve av. J.C [et donnera l’écriture devanagari actuelle]. En Iran, les plus anciennes inscriptions, en vieux perse [qui donnera le farsi actuel, une langue indo-européenne (au rebours du Turc, langue sémitique, comme l’Arabe ou l’Hébreu] apparaissent sur les monuments des Achéménides (VIe – IVe av. J.-C.).